vendredi 14 août 2015

Le retour des mobiles...

L'avantage d'être enseignant, c'est bien évidemment les vacances d'été.  7 semaines de temps libre... Enfin dans mon cas, temps libre, avec trois moussaillons, ça me fait doucement rigoler, mais disons qu'au moins, j'ai quelques bouts de soirée disponibles pour bricoler au lieu de préparer des cours.

J'en ai donc profité pour ressortir un projet en attente depuis de nombreux mois, datant de l'époque des mobiles Montessori.  Ma maman ayant suggéré que je lui fabrique un mobile semblable au mobile de Gobbi pour suspendre au dessus de sa table à langer, j'avais décidé de faire une variation sur le thème initial, avec l'avantage incontestable d'être beaucoup plus rapide à réaliser.

Matériel : 

- Un anneau en bois de 20 cms de diamètre (commandé au Home de l'Art à Chimay, si mes souvenirs sont bons
- Quatre (ou plus) boules à guirlande, du style de celles de la Case de Cousin Paul.  Ca se vend à la pièce, de l'ordre d'un euro je dirais.
- Du fil de nylon
- Des allumettes

Recette : 

Pour la fabrication, rien de bien chinois, il faut juste faire beaucoup de noeuds, et avec du fil nylon, c'est parfois casse-pied.  Le seul petit challenge technique, c'est pour accrocher le fil aux boules.  On pourrait se contenter de percer un trou avec une aiguille, mais étant donné qu'il y a déjà un trou de fait, j'ai trouvé plus simple de couper de petits bouts d'allumettes, de nouer le fil de nylon autour de chaque et de le glisser dans la boule.  

L'avantage de ce mobile, c'est qu'il ne faut pas se casser la tête pour l'équilibrage.  Il faut juste un peu chipoter pour les fils du dessus, qui constitueront la boucle permettant de l'attacher : il s'agit de bien ajuster la tension pour que le poids soit réparti sur chacun des quatre brins.  

Résultat : 

J'ai donc fait le mobile en deux exemplaires, un pour chez mes parents, l'autre pour la chambre de Bébé Fleur.  Ah oui, je ne vous l'ai pas encore dit... On a changé de navire, chaque moussaillon dispose à présent de sa propre cabine.  Mais ça, c'est une autre histoire...  

 

 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire